• Originaire d’Europe et traditionnellement associé aux cultures viticoles, le fruit du cassissier est célèbre pour son utilisation dans les liqueurs apéritives dans la région bourguignonne. Mais depuis quelques décennies, son bourgeon est également exploité en parfumerie, afin de produire une concrète, puis une absolue, à l’odeur puissante et complexe. À la fois verte, fruitée et soufrée, mordante et liquoreuse, elle constitue un ingrédient haut de gamme et par ailleurs une des rares notes fruitées naturelles de la palette des parfumeurs.

    Découvrez chaque facette de ce bouton mauve et méconnu : botanique, histoire, arts, gastronomie, agriculture, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Le narcisse, si délicat en apparence, diffuse un parfum capiteux, complexe, presque narcotique.

    Plongez dans une vision à 360 degrés du narcisse d’Auvergne : botanique, histoire, art, gastronomie, littérature, agriculture, économie, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Ce deuxième numéro de Nez vous invite à une exploration au cœur du sale et du propre, avec tous les paradoxes, les tensions et les questions que ces deux extrêmes soulèvent. Culturelles ou naturelles, mais surtout contextuelles, nos attirances et nos répulsions olfactives sont-elles finalement si contradictoires que cela ?…
  • Ce deuxième numéro de Nez vous invite à une exploration au cœur du sale et du propre, avec tous les paradoxes, les tensions et les questions que ces deux extrêmes soulèvent. Culturelles ou naturelles, mais surtout contextuelles, nos attirances et nos répulsions olfactives sont-elles finalement si contradictoires que cela ?…
  • Le quatrième numéro de Nez poursuit son exploration olfactive, et nous emmène encore plus loin au delà des frontières, des conventions et des idées reçues sur notre odorat.

    En ouverture, les Icônes de l’olfaction, d’Andy Warhol au chimiste George de Laire, de la philosophe Chantal Jaquet au chercheur John P. MacGann.

    Le Nez des designers dévoile les secrets olfactifs de cette profession.

    Dans notre cahier Odorama, vous découvrirez comment l’on perçoit les odeurs lorsqu’on est aveugle, l’épopée des ionones, ces molécules au parfum de violette,les secrets olfactifs de la carotte, et vous plongerez – de manière tout à fait légale – dans les odeurs des drogues, qu’elles soient douces ou dures.

    Au fil des Correspondances, vous pourrez lire une lettre ouverte d’un jeune parfumeur à ses aînés, partir à la découverte de l’univers olfactif de Sarah Bernhardt, faire une virée à Amsterdam le temps d’un portfolio odorant et urbain, contempler les photographies de Roberto Greco, comprendre quels sont les liens entre la bouche et le nez d’Olivier Roellinger, et découvrir un tableau de Fantin-Latour en odeurs.

    Dans la partie magazine, Annick Menardo, la créatrice de Bois d’argent, Lolita Lempicka ou Hypnotic Poison, nous livre sa vision du métier de parfumeur et son regard sur l’industrie.

    L’oud, dont tout le monde parle sans savoir vraiment de quoi il s’agit, est l’objet d’un reportage photo, de sa plantation au flacon.

    Un flash-back olfactif nous replonge dans les années 70 , tandis que la boutique imaginaire conseille d’illustres personnalités de cette décennie.

    Un grand dossier porte sur les liens intimes et complexes que le parfum entretient avec l‘art en tentant de répondre aux questions : la parfumerie est-elle un art ? Le parfumeur un artiste ? Le parfum une œuvre de l’esprit ? Qui sont les directeurs artistiques ? Comment l’odorat et le parfum sont-ils intégrés dans l’art aujourd’hui ? Analyses et points de vue sous les angles juridique, philosophique, esthétique, historique, industriel…

    Le Cahier Parfums aide à mieux comprendre une industrie en pleine transformation, avec le portrait de la marque indépendante venue d’Oman, Amouage, une enquête au coeur de la contrefaçon, et l’arbre généalogique du plus célèbre parfum, Chanel N°5.

    Un Cahier critique passe au crible, parmi tous les (très nombreux) lancements, une sélection de 30 parfums, ainsi qu’une poignée de produits parfumés pour le corps et la maison, qui ont retenu notre attention dans les dernières sorties. Enfin, un agenda recense les événements olfactifs à ne pas louper : livres, expositions ou autres événements (de plus en plus nombreux) relatifs à l’odorat ou au parfum.

  • Le cinquième numéro de Nez poursuit son exploration olfactive, et nous emmène encore plus loin au delà des frontières, des clichés et des idées reçues sur notre odorat. Le grand dossier se penche sur la délicate et ambigüe question de la place du naturel et du synthétique dans les parfums, dont la dimension polémique et floue est principalement issue d’une méconnaissance du grand public sur le sujet. Entre secrets de fabrication bien gardés et communications opportunistes, avancées technologiques, croyances, idées reçues et amalgames…  il est souvent difficile de se forger un avis éclairé et juste.
  • Nez#6 s’intéresse dans ce nouveau numéro au corps et à l’esprit. Quelles sont les vertus thérapeutiques du parfum ? Quelles réactions provoque-t-il chez nous ?

    Nez poursuit donc son exploration olfactive en profondeur et nous emmène toujours plus loin au delà des frontières, des clichés et des idées reçues sur l’odorat.

  • L’odorat a longtemps été considéré comme un sens animal, primaire, instinctif, bestial…

    Si l’homme, en se redressant sur ses deux pattes arrière, a développé son ouïe et sa vue, sens reconnus comme plus nobles et intellectuels, les animaux ont conservé l’odorat comme moyen de communication principal,  et certains en usent parfois de manière impressionnante et inattendue.

    Les animaux se sentent entre eux, mais sentent aussi tout court, bon ou mauvais. Si l’odeur de leur pelage nous attire parfois, celle de leur chair nous repousse souvent, sauf quand elle se retrouve grillée au barbecue.

    Du musc à l’ambre gris en passant par la civette, l’animal a aussi de tout temps été pourvoyeur de matière première dans la confection des parfums, jusqu’à très récemment. De La Panthère de Cartier à Muscs Koublaï Khän de Serge Lutens, l’animal s’infiltre dans les flacons, diffusant ses notes fauves indésirables tapies derrière les fleurs fraîches, comme si l’homme voulait diffuser un message olfactif, retrouver une aura oubliée qu’il aurait perdue au cours de son évolution ?

  • Autrefois associé aux effluves de hippie ou de cocotte, le patchouli est devenu un pilier incontournable de la parfumerie. Son odeur chaude, boisée et complexe permet aux notes plus fraîches de se révéler, notamment dans les parfums chyprés ou orientaux.

    Explorez toutes les facettes de cette plante exotique : botanique, histoire, art, gastronomie, littérature, agriculture, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Connu depuis trois mille ans, le santal est aujourd’hui un arbre rare, qui pousse désormais principalement en Australie et en Nouvelle-Calédonie, où sa culture est préservée. Son bois est l’un des plus précieux au monde, et son essence, à l’odeur chaude, boisée, lactée et crémeuse, l’une des plus onéreuses de la palette du parfumeur.

    Embarquez pour le Pacifique pour découvrir ce bois au coeur doré : botanique, histoire, littérature, agriculture, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Développée à Grasse avant d’être cultivée en Tunisie, au Maroc et en Égypte, la fleur d’oranger est une matière première délicate, dont les boutons sont récoltés à la main, un à un. Transformée en une huile essentielle appelée « néroli », en absolue ou encore en eau florale, elle a le pouvoir de satisfaire aussi bien les pâtissiers que les parfumeurs. Son parfum, vif, pétillant et vert pour l’essence, plus chaud, miellé et animal pour l’absolue, évoque tour à tour la féminité, l’enfance ou la fraîcheur des doux après-midi d’été.

    Explorez chaque facette de cette fleur aux mille visages : botanique, histoire, arts, gastronomie, agriculture, chimie, sans oublier bien sûr parfums et parfumeurs.

  • Cultivée en Toscane et dans le sud de la France, Iris Pallida est l’une des matières premières les plus chères de la palette du parfumeur. Obtenir sa précieuse absolue nécessite cinq à six ans de patience après sa plantation, pour que les composés odorants se développent dans le rhizome de la fleur. Son parfum, complexe et délicat, est à la fois floral, poudré, boisé, beurré et évoque la violette.

    Explorez toutes les facettes de cette matière luxueuse : botanique, histoire, art, gastronomie, littérature, agriculture, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

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