• Du ventre de notre mère jusqu’au cimetière, comment les odeurs nous accompagnent-elles tout au long de notre existence ? Notre odorat peut-il nous aider à survivre ? Les parfums trépassent-ils aussi ? Ce onzième numéro sonde les liens étroits qui existent entre notre nez et les notions de vie et de mort.

    Nez propose de découvrir le monde à travers nos sensations olfactives, avec une approche pluridisciplinaire : art, littérature, photographie, sciences, histoire, gastronomie, parfumerie… Pour comprendre le rôle essentiel de l’odorat dans notre vie.

  • Tiraillé entre ses dimensions artistiques, artisanales, commerciales et techniques, entre rationnel et émotionnel, et si le parfum était avant tout considéré comme un objet de design ?

    Nez propose de découvrir le monde à travers nos sensations olfactives, avec une approche pluridisciplinaire : art, littérature, photographie, sciences, histoire, gastronomie, parfumerie… Pour comprendre le rôle essentiel de l’odorat dans notre vie.

  • Originaire du Mexique, la tubéreuse a trouvé une terre d’accueil idéale en Inde, où ses fleurs aux pétales cireux et très odorants sont utilisées en décoration ou en offrande. Son parfum, puissant, capiteux et opulent, est souvent associé à une féminité charnelle, voire érotique.

    Découvrez chaque facette de cette fleur voluptueuse : botanique, arts, gastronomie, histoire, agriculture, chimie, sans oublier bien sûr parfums et parfumeurs.

  • Née dans le bassin méditerranéen, la lavande est importée par les Romains en Provence, où elle est encore aujourd’hui cultivée. L’odeur de la fleur bleue et de son hybride, le lavandin, est depuis toujours synonyme de propreté et de fraîcheur apaisante. Transformées en huile essentielle ou en absolue, ces deux espèces offrent aux parfumeurs une grande variété de profils olfactifs : si le lavandin est plus camphré, la lavande présente des notes plus florales et poudrées.

    Découvrez chaque facette de cet emblème provençal : botanique, histoire, arts, gastronomie, agriculture, chimie, sans oublier bien sûr parfums et parfumeurs.

  • Originaires d’Afrique du Sud, les géraniums qui ornent nos balcons ne sont pas connus pour leur parfum. Mais le géranium rosat, également nommé Pelargonium graveolens, renferme dans ses feuilles une essence aux multiples vertus olfactives et curatives. Autrefois cultivé sur l’île de la Réunion, aujourd’hui principalement en Égypte, il est transformé en absolue ou en huile essentielle, dont les notes rosées, citronnées et menthées se retrouvent dans un grand nombre de fragrances.

    Explorez chaque facette de cette fleur robuste et élégante : botanique, histoire, arts, aromathérapie, agriculture, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Originaire d’Europe et traditionnellement associé aux cultures viticoles, le fruit du cassissier est célèbre pour son utilisation dans les liqueurs apéritives dans la région bourguignonne. Mais depuis quelques décennies, son bourgeon est également exploité en parfumerie, afin de produire une concrète, puis une absolue, à l’odeur puissante et complexe. À la fois verte, fruitée et soufrée, mordante et liquoreuse, elle constitue un ingrédient haut de gamme et par ailleurs une des rares notes fruitées naturelles de la palette des parfumeurs.

    Découvrez chaque facette de ce bouton mauve et méconnu : botanique, histoire, arts, gastronomie, agriculture, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Le narcisse, si délicat en apparence, diffuse un parfum capiteux, complexe, presque narcotique.

    Plongez dans une vision à 360 degrés du narcisse d’Auvergne : botanique, histoire, art, gastronomie, littérature, agriculture, économie, chimie, sans oublier parfums et parfumeurs.

  • Ce deuxième numéro de Nez vous invite à une exploration au cœur du sale et du propre, avec tous les paradoxes, les tensions et les questions que ces deux extrêmes soulèvent. Culturelles ou naturelles, mais surtout contextuelles, nos attirances et nos répulsions olfactives sont-elles finalement si contradictoires que cela ?…
  • Ce deuxième numéro de Nez vous invite à une exploration au cœur du sale et du propre, avec tous les paradoxes, les tensions et les questions que ces deux extrêmes soulèvent. Culturelles ou naturelles, mais surtout contextuelles, nos attirances et nos répulsions olfactives sont-elles finalement si contradictoires que cela ?…
  • Ce troisième numéro aborde la question, aussi vaste qu’ambiguë, du sexe des parfums. D’où viennent les codes olfactifs qui dictent le genre des fragrances que nous portons ? Quels liens étroits la sphère olfactive tisse-t-elle avec la sexualité, le désir et l’attirance amoureuse ?
  • Le quatrième numéro de Nez poursuit son exploration olfactive, et nous emmène encore plus loin au delà des frontières, des conventions et des idées reçues sur notre odorat.

    En ouverture, les Icônes de l’olfaction, d’Andy Warhol au chimiste George de Laire, de la philosophe Chantal Jaquet au chercheur John P. MacGann.

    Le Nez des designers dévoile les secrets olfactifs de cette profession.

    Dans notre cahier Odorama, vous découvrirez comment l’on perçoit les odeurs lorsqu’on est aveugle, l’épopée des ionones, ces molécules au parfum de violette,les secrets olfactifs de la carotte, et vous plongerez – de manière tout à fait légale – dans les odeurs des drogues, qu’elles soient douces ou dures.

    Au fil des Correspondances, vous pourrez lire une lettre ouverte d’un jeune parfumeur à ses aînés, partir à la découverte de l’univers olfactif de Sarah Bernhardt, faire une virée à Amsterdam le temps d’un portfolio odorant et urbain, contempler les photographies de Roberto Greco, comprendre quels sont les liens entre la bouche et le nez d’Olivier Roellinger, et découvrir un tableau de Fantin-Latour en odeurs.

    Dans la partie magazine, Annick Menardo, la créatrice de Bois d’argent, Lolita Lempicka ou Hypnotic Poison, nous livre sa vision du métier de parfumeur et son regard sur l’industrie.

    L’oud, dont tout le monde parle sans savoir vraiment de quoi il s’agit, est l’objet d’un reportage photo, de sa plantation au flacon.

    Un flash-back olfactif nous replonge dans les années 70 , tandis que la boutique imaginaire conseille d’illustres personnalités de cette décennie.

    Un grand dossier porte sur les liens intimes et complexes que le parfum entretient avec l‘art en tentant de répondre aux questions : la parfumerie est-elle un art ? Le parfumeur un artiste ? Le parfum une œuvre de l’esprit ? Qui sont les directeurs artistiques ? Comment l’odorat et le parfum sont-ils intégrés dans l’art aujourd’hui ? Analyses et points de vue sous les angles juridique, philosophique, esthétique, historique, industriel…

    Le Cahier Parfums aide à mieux comprendre une industrie en pleine transformation, avec le portrait de la marque indépendante venue d’Oman, Amouage, une enquête au coeur de la contrefaçon, et l’arbre généalogique du plus célèbre parfum, Chanel N°5.

    Un Cahier critique passe au crible, parmi tous les (très nombreux) lancements, une sélection de 30 parfums, ainsi qu’une poignée de produits parfumés pour le corps et la maison, qui ont retenu notre attention dans les dernières sorties. Enfin, un agenda recense les événements olfactifs à ne pas louper : livres, expositions ou autres événements (de plus en plus nombreux) relatifs à l’odorat ou au parfum.

  • Le cinquième numéro de Nez poursuit son exploration olfactive, et nous emmène encore plus loin au delà des frontières, des clichés et des idées reçues sur notre odorat. Le grand dossier se penche sur la délicate et ambigüe question de la place du naturel et du synthétique dans les parfums, dont la dimension polémique et floue est principalement issue d’une méconnaissance du grand public sur le sujet. Entre secrets de fabrication bien gardés et communications opportunistes, avancées technologiques, croyances, idées reçues et amalgames…  il est souvent difficile de se forger un avis éclairé et juste.

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